Prix de l’électricité: nouvelle hausse pour 2020?
Hausse de prix de électricité
Hausse de prix de électricité
Installation photovoltaïque de 3kWc – Système triangle pour orientation Sud – autoconsommation (Meuse 55)
Installation photovoltaïque de 9kWc – surimposition – Vente totale (Meuse 55)
Installation photovoltaïque de 6kWc (2 fois 3kWc orientation Est-Ouest) – surimposition – Autoconsommation (Meurthe-et-Moselle 54)
Installation photovoltaïque de 6kWc – surimposition – Autoconsommation – (Meurthe-et-Moselle 54)
ECOSOLAR vous souhaite de bonnes fêtes de fin d’année !
Les véhicules électriques sont-ils vraiment écologiques ?
Un nouveau bolide électrique chez Ford
C’est le mercredi 15 mai 2019 que RTE (Réseau de Transport de l’Electricité) a publié en lien avec l’AVERE-France les résultats de l’étude ”Les enjeux du développement de l’électromobilité pour le système électrique”.
Cette étude évalue les comportements, la contribution au mix énergétique ainsi que l’impact économique et écologique de la mobilité électrique.
Et il semblerait que le développement du véhicule électrique présente des atouts écologiques et économiques majeurs, quelques soient les hypothèses envisagées. En effet, cinq scénarios de développement du véhicule électrique en France ont été imaginés : Crescendo, Opéra, Forte, Alto et Piano.
Du point de vue de la sécurité d’approvisionnement, RTE estime que la consommation d’énergie liée au développement du véhicule électrique ne devrait pas excéder 48 TWh, soit 10% de la consommation française.
Ce niveau de consommation n’impacte pas la sécurité d’approvisionnement en électricité de la France. Les périodes de forts déplacements, comme les vacances scolaires ou les départs en weekend, ne constituent pas un motif d’inquiétudes. Les pointes de consommation en électricité du soir peuvent, quant à elles, être atténuées grâce à la mise en place de solutions simples de pilotage.
Le coût du plein d’un véhicule électrique devrait être 3 fois inférieur à celui d’un véhicule thermique. En cas d’utilisation de solutions de pilotage, ce plein pourrait être 5 fois inférieur.
Le pilotage de la recharge permettrait de diviser par 2 le coût du développement de la mobilité électrique pour le système électrique.
Les émissions de CO2 d’un véhicule électrique français seraient, au minimum, divisées par 4 par rapport à celles d’un véhicule thermique, cycle de vie complet de la batterie compris.
Le lieu de fabrication des batteries, la croissance modérée de leur capacité de stockage, l’accroissement de leur taux de recyclage, le pilotage de la recharge ainsi qu’un usage plus important des transports en commun et des mobilités douces contribueraient également à réduire significativement l’impact environnemental du secteur des transports. Combinés, ces leviers peuvent permettre d’éviter l’émission de 2 fois plus de CO2.
Le développement du véhicule électrique et le pilotage de sa recharge permettrait une meilleure intégration des énergies renouvelables sur le réseau, à court terme, et un moindre recours aux moyens de production fossiles de pointe, à long terme.
L’étude complète a été présentée le mardi 21 mai et nous attendons de connaitre les résultats.
En attendant, tous les voyants sont au vert pour voir le véhicule électrique se démocratiser.
Source : https://tecsol.blogs.com
Voilà presque 40 ans que la première centrale solaire photovoltaïque reliée au réseau à été installée en Europe, et plus précisément en Suisse, à coté de Lugano.
D’une puissance originale de 10kW pour 288 panneaux, cette centrale avait amorcé le début d’une nouvelle façon de produire de l’énergie électrique.
Eh bien c’est sans grande surprise que l’on constate que 3 modules sur 5 installés présentent encore un rendement égal ou supérieur à 80% de leur production initiale. Certains sont même dans un état encore neuf avec une production supérieur à 90%. Seul certains câbles et onduleurs ont dû être remplacés.
Des chiffres remarquables pour une installation réalisée en 1982 !
Aujourd’hui les technologies ont bien évolué et les principaux défauts des premiers panneaux ont disparus. Il ne fait nul doute que dans 40 ans, nous soyons à nouveau surpris par les résultats des technologies actuelles !
Mais dans tous les cas, un produit de qualité n’empêche pas son bon entretien de l’installation. N’oubliez pas que la meilleure garantie de production reste un suivi, entretien et un nettoyage régulier.
Image: L’installation TISO sur une photo datant de 1982 (SUPSI)