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Zone Industrielle, 3 Rue de l'Industrie 08350 Donchery
FRANCE

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contact@ecosolar.energy

Category: Actualités

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Les idées reçues sur le photovoltaïque

Malgré une hausse constante du nombre d’installation réalisées sur le territoire, la technologie photovoltaïque traine toujours avec elle quelques idées reçues non fondées, mais toujours bien présentes. Essayons ensemble de faire tomber les plus courantes en nous informant !

« Les panneaux solaires photovoltaïques ont une durée de vie limitée à 20 ans »

C’est FAUX.

Pour citer un exemple concret, une des premières centrales photovoltaïques d’Europe (dans le canton du Tessin en Suisse) fonctionne encore parfaitement aujourd’hui alors qu’elle date de presque 40 ans.

Mais les avancées scientifiques et les progrès technologiques font croitre les durées de vie des appareils encore aujourd’hui. C’est pour cette raison que la plupart des constructeurs n’ont pas peur dorénavant de garantir une production optimale de 25 ans. Les garanties matérielles des panneaux dépassent parfois les 20 ans en fonction de la marque et du modèle.

Cela ne signifie pas pour autant que les panneaux solaires ne fonctionnent plus après cette échéance atteinte. Les constructeurs indiquent d’ailleurs un fonctionnement à 80% de leur puissance initiale pendant plusieurs années au-delà de cette garantie. De quoi continuer à rentabiliser un investissement.

« Les panneaux solaires sont fragiles »

C’est encore FAUX.

Afin de pouvoir être commercialisés, les panneaux photovoltaïques doivent bénéficier de la certification IEC 161215 (Commission Electrotechnique Internationale).

Cette certification garantie que les panneaux sont conformes en matière de résistance mécanique (tests mécaniques de résistance à la grêle par exemple) ainsi qu’au niveau du respect des paramètres électriques.

Pour répondre à une autre fausse idée reçue, les panneaux photovoltaïques n’attirent pas la foudre. Il est cependant nécessaire de protéger une installation avec l’utilisation de parafoudres dans les coffrets de protection mis en place lors de l’installation.

« J’habite dans une région où il n’y a pas assez de soleil. Ça ne vaut pas le coup ! »

C’est toujours FAUX.

La technologie photovoltaïque transforme la lumière pour produire de l’électricité, à la différence du solaire thermique qui lui, capte la chaleur des rayons du Soleil. C’est donc la luminosité solaire et les photons qui nous intéressent pour créer l’énergie photovoltaïque.

Il est vrai que la température exerce une influence sur la production. Car l’efficacité des panneaux photovoltaïques a tendance à baisser légèrement lorsque ces derniers montent trop en température. Il est donc primordial de leur assurer une bonne ventilation afin d’optimiser la production.

Ce qui est important, c’est d’avoir un taux d’ensoleillement minimum. Mais pas besoin d’habiter dans une région du Sud pour cela, toutes les régions de France se prêtent particulièrement bien à ces installations.

« Les panneaux photovoltaïques, c’est la porte ouverte aux arnaques »

C’est aujourd’hui FAUX.

Au début des années 2000, à cause d’un tarif de rachat élevé, le boom du photovoltaïque en effet été l’objet de nombreuses arnaques d’entreprises peu scrupuleuses : les éco-délinquants.

Aujourd’hui, vous pouvez facilement vous assurez que l’entreprise sollicitée est inscrite au Registre du Commerce et des Sociétés ou au Répertoire des Métiers et qu’elle a les capacités professionnelles, techniques et financières pour la conception et la réalisation des travaux.

N’oubliez pas de recourir à un installateur qualifié !

« La fabrication d’un panneau solaire nécessite beaucoup d’énergie »

C’est FAUX.

Les panneaux photovoltaïques sont composés principalement de silicium. C’est la nécessité d’être passés dans des fours à haute température lors de la fabrication qui consomme beaucoup d’électricité.

Il faut quand même nuancer ces besoins car les avancées technologiques de ces dernières années favorisent la baisse du besoin énergétique nécessaire à la fabrication.

Retenons qu’il faut en moyenne seulement entre 1 et 3 ans à un panneau photovoltaïque pour amortir l’énergie dépensée à sa fabrication. Ce qui arrive relativement tôt au vu de sa longue durée de vie.

De plus, certaines usines de production de panneaux sont elles-mêmes alimentées par des énergies renouvelables ce qui réduit drastiquement les besoins en therme d’énergie.

« On ne peut pas recycler les panneaux solaires »

FAUX.

Il est tout à fait possible de nos jours de recycler ses panneaux solaires. Il faut savoir que la matière utilisée pour les produire peut-être recyclée à jusqu’à 90% car ils sont essentiellement composés de silicium et de verre, deux matériaux auxquels il est facile de donner une seconde vie !

En ce qui concerne le reste du panneau (cadre en aluminium, câbles en cuivre etc.), il est également recyclable et réutilisable.

En France, c’est la société PV Cycle, agrée par les pouvoirs publics qui se charge du recyclage des panneaux photovoltaïques. Et ce gratuitement !

« L’électricité produite par les panneaux qui n’est pas consommée est perdue ! »

Encore une fausse affirmation

Lorsque panneaux photovoltaïques produisent de l’électricité et que vous ne l’utilisez pas (autoconsommation), elle est alors injectée dans le réseau électrique. Vous pouvez décider de céder gratuitement cette énergie ou bien la revendre dans le cadre d’un contrat de rachat (EDF Obligation d’Achat).

Cependant, l’autoconsommation totale (consommer la totalité de la production sur place) sans système de stockage est assez difficile à atteindre. Les besoins en électricité ne sont pas toujours supérieurs à la production directe.  

C’est pour cette raison qu’il est nécessaire de dimensionner l’installation de manière optimale. Le surplus éventuel d’électricité sera alors injecté sur le réseau avec la possibilité d’en retirer un complément de rémunération.

Vous réduisez alors vos factures d’électricité de deux façons : vous achetez moins d’électricité à votre fournisseur et vous lui en revendez.

Si vous désirez un degré élevé d’autoconsommation, il vous faudra investir dans un système de batteries afin de stocker votre énergie en surplus pour l’utiliser lorsque la production est faible ou inexistante (du soir au matin).

Ces projets restent néanmoins déconseillés pour le moment et dans la majorité des cas car le coût des batteries limite leur rentabilité.

« Les tarifs d’achat de l’électricité produite changent chaque année »

C’est FAUX.

Vous fixer le tarif de rachat de l’électricité produite par les panneaux photovoltaïques lors de la signature du contrat de revente avec EFD OA. C’est un contrat sur 20 ans qui garanti le tarif sur toute cette durée.

Au-delà des 20 ans, vous pouvez signer un nouveau contrat avec les tarifs en vigueur à cette date.

Pour les contrats de revente de la totalité de la production (à la différence de l’autoconsommation), les tarifs sont indexés sur le coût du travail et l’indice des coûts de production. Il peut donc y avoir de légères variations pendant la durée du contrat.

« Les panneaux photovoltaïques coûtent chers »

FAUX.

Depuis environ une dizaine d’année, le prix des panneaux photovoltaïque à presque été divisé par 3. Cela s’explique par une large industrialisation du secteur.

On peut alors trouver des modules dans tout ordre de prix, de l’entrée de gamme aux panneaux très haut de gamme.

En ce qui concerne le coût des installations photovoltaïques, elles ont-elles aussi largement baissé depuis ces dernières années. Compter entre 7000 et 9000€ pour une centrale de 3kWc en fonction des difficultés d’installation.

Vous pouvez aujourd’hui amortir votre investissement grâce aux primes à l’autoconsommation versées par l’Etat (uniquement pour les projets en autoconsommation). Le montant de ces primes dépend de la puissance de la centrale installée en toiture et est également soumise à certaines conditions. La liste des primes et des tarifs de rachat est disponible dans la rubrique Actualités.

photovoltaïque

Le photovoltaïque a toujours la part belle aux idées reçues et aux préjugés mais il suffit de s’informer pour les faire tomber.

Source : Qualit’EnR

[?NEWS] Tarifs d’achat photovoltaïque jusqu’au 30 septembre 2021: les prix en vente totale continuent de baisser.

Tarif rachat électricité photovoltaïque du 1 Juillet au 30 Septembre 2021
Tarif rachat électricité photovoltaïque et prime autoconsommation du 1 Juillet au 30 Septembre 2021

Pour ce troisième trimestre 2021, quelques variations dans les tarifs de rachat sont à prévoir, notamment pour les projets dont la puissance dépasse les 9kWc. Pas de changement concernant l’autoconsommation.

  • Légère baisse des tarifs en vente totale jusqu’à 9kWc (environ -1.5%).
  • Réduction importante des tarifs pour les projets d’une puissance supérieur à 9kWc.
  • Pas de changement de tarif ni de prime pour les projets en autoconsommation.

N’hésitez plus et devenez votre propre fournisseur d’électricité renouvelable grâce à l’autoconsommation photovoltaïque !

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A vos marques, prêt, feu, oups c’est les vacances…

Gabriel ATTAL confirme le décret guichet unique (jusqu’à 500 kWc) fin juillet… ou début septembre

C’est lors de sa visite à Perpignan dans les locaux du journal L’Indépendant que le porte-parole du gouvernement, Gabriel ATTAL, a été questionné par un abonné au quotidien.

La question de cet expert photovoltaïque portait sur la future parution du décret pour le guichet unique pour les installations photovoltaïques jusqu’à 500 kWc. Un décret que toute la filière solaire attend de pieds fermes.  

Mr ATTAL a dû demander à ses conseillers d’aller chercher l’information directement à la source.

Voici la réponse reçue par sms :

 « Sur le décret guichet unique, la concertation vient de s’achever, le décret doit paraître prochainement après les derniers échanges avec la Commission de Régulation de l’Energie. Cela devrait être d’ici la fin du mois mais si tu veux être « safe » et ne pas être démenti tu peux dire d’ici la rentrée ».

Même si cela ne devrait prendre encore que quelques semaines, il semble que le gouvernement puisse laisser encore un peu de temps au sujet…

Sources: www.tecsol.blog.com

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Les énergies renouvelables de plus en plus compétitives grâce à la hausse des prix du Carbon

D’après l’institut Fraunhofer, la hausse du prix du Carbon rend les énergies renouvelables de plus en plus compétitives 

L’analyse du coût actualisé de l’électricité (LCOE pour Levelized Cost of Energy en anglais) est claire.

Les énergies renouvelables deviennent enfin de plus en plus compétitives face aux centrales électriques conventionnelles en raison de la hausse des prix du CO2.

C’est dans leur cinquième étude sur le coût actualisé de l’énergie des centrales électriques à énergie renouvelables que les chercheurs de l’institut Fraunhofer prévoient l’évolution future des coûts jusqu’en 2040 sur la base de scénarios spécifiques à la technologie.

Par exemple, en Allemagne, les centrales solaires et éoliennes ont des coûts nettement inférieurs à ceux des centrales électriques conventionnelles. Et en raison de la hausse du prix des certificats de CO2, la compétitivité de ces centrales en termes de coûts diminuera encore dans les années à venir.

Le LCOE du photovoltaïque varie entre 3 à 11 c€/kWh

Aujourd’hui, le coût d’exploitation des centrales électriques conventionnelles augmente. Notamment grâce aux différentes actions menées pour la protection de l’environnement. Alors que les coûts de l’électricité pour les centrales à énergie renouvelable continu de baisser.

A titre d’exemple, le LCOE du photovoltaïque varie actuellement entre 3 et 11 centimes d’euro par kWh en fonction du type d’installation et du rayonnement solaire.

En ce qui concerne les systèmes photovoltaïques avec stockage par batteries, le LCOE fluctue entre 5 et 19 centimes d’euro par kWh. Un écart de différence plus grand qui s’explique par la diversité des prix pour ces systèmes. Cependant, il s’agit là d’un marché en croissance qui nécessitait d’être pris en compte dans l’étude.  

Prévision du coût actualisé de l’électricité jusqu’en 2040

Grace au développement de nouvelles technologies, il est tout à fait envisageable de voir le coût moyen de l’énergie verte bien inférieur à celui des centrales à combustible fossile d’ici 2040.

Les prévisions montrent même que d’ici cette même année, le LCOE des petites installations photovoltaïques en toiture sera compris entre 3,5 et 6,7 centimes d’euros/kWh. Les prévisions varient entre 1,9 et 3,5 centimes d’euros/kWh pour les systèmes photovoltaïques au sol.

Il est même prévu de voir le LCOE inférieur à 10 centimes d’euro d’ici trois ou quatre ans pour tous les systèmes photovoltaïques, hors solutions avec stockage par batterie. Le LCOE de ces derniers devrait être compris entre 5 et 12 centimes d’euro/kWh d’ici 2040 pour les petits systèmes.

En ce qui concerne les coûts d’installation prévisionnel pour 2040, il est envisageable d’imaginer le kWc au sol à 350€ et entre 615 et 985€ pour les petites installations en toiture.

D’ici 2030, les nouvelles installations photovoltaïques et éoliennes moins chères que les centrales électriques conventionnelles existantes

Dans leur étude, les équipes de l’institut Fraunhofer ont également comparé le LCOE des nouvelles centrales à énergie renouvelables avec les coûts d’exploitation des centrales électriques conventionnelles existantes.

Les prévisions montrent que pour cette année, les coûts actualisés des énergies renouvelables devraient être au même niveau que les coûts d’exploitation des centrales électriques conventionnelles, voire inférieurs.

Cependant, les coûts d’exploitation de toutes les centrales électriques à combustibles fossiles existantes continueront d’augmenter fortement, avec des prévisions supérieures à 100 €/t de CO2 d’ici 2030.

D’après Christoph Kost, responsable du département Analyse des Systèmes Energétiques à l’Institut Fraunhofer ; « Cette augmentation des coûts signifie un marché très dynamique pour les nouvelles centrales d’énergies renouvelables, car les entreprises préfèrent investir dans de nouvelles centrales électriques renouvelables plutôt que de supporter ces coûts d’exploitation élevés. Cependant, il est nécessaire de s’assurer une superficie et une capacité de centrale suffisantes pour l’éclosion de nouvelles centrales éoliennes et photovoltaïques ».

Nous pouvons donc parier sur un avenir prometteur pour l’énergie verte quel que soit les systèmes utilisés.   

Sources: tecsol.blogs.com

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Le nombre d’installations photovoltaïque en autoconsommation en France en hausse de 50% en 1 an !

Personne ne peut démentir la progression de l’autoconsommation photovoltaïque !

Alors que la France semble accuser du retard vis-à-vis de ses voisins Européens en termes d’installations, le nombre de ces dernières continue de croitre rapidement sur notre territoire.

La répartition géographique de toutes ces installations parait inégale mais la production d’électricité d’origine photovoltaïque ne semble ni dépendre du climat ni du taux d’ensoleillement.

Car c’est sur l’ensemble du territoire qu’ENEDIS comptabilisait à la fin du premier trimestre 2021 la somme de 109 326 installations de production photovoltaïque en autoconsommation.

Cela représente une hausse de plus de 50% par rapport au premier trimestre 2020.

Preuve que l’autoconsommation photovoltaïque ne séduit pas que dans les départements ensoleillés.  

Alors n’hésitez plus ! Où que vous soyez, devenez auto-producteur et consommez dès à présent votre propre électricité !

Source : www.usinenouvelle.com

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Les énergies renouvelables devraient atteindre 50 % du mix énergétique d’ici 2030 en Europe

C’est du moins ce qu’espère Barbara Monterrubio, analyste en transition énergétique chez GlobalData, dans leur dernier rapport, « Global Power Mix in Transition ».

Celui-ci révèle une augmentation importante des investissements dans la production d’énergies propres : centrales solaires et éoliennes, nouvelles technologies telles que l’hydrogène, stockage d’énergie, capture du carbone, réseaux intelligents…

Tous ces progrès entraînent des changements dans le secteur de l’électricité.

Soutenant une voie à une décarbonation intelligente, Barbara Monterrubio a commenté concernant l’évolution mondiale : « 2020 a été une année décisive dans la poussée vers les technologies renouvelables. Désormais, les énergies renouvelables domineront le mix énergétique à partir de 2024, dépassant la production d’électricité au charbon. »

Le scénario prévu pour la prochaine décennie est basé sur les politiques, les actions, les technologies actuelles et les centrales électriques annoncées.

Cette ligne de base prévoit que le charbon conservera tout de même une part élevée du mix au cours des dix prochaines années, à moins qu’un renforcement politique plus important ne soit fait.

Le charbon toujours présent malgré tout…

Dans point de vue continental, l’Europe continuera de s’orienter de manière accélérée vers les technologies propres. Les énergies renouvelables devraient atteindre 50 % d’ici 2030.

Les progrès remarqués en Amérique du Nord sont plus lents qu’en Europe, où les énergies renouvelables devraient contribuer à un peu moins de 40 % de la production d’ici la même année.

La croissance rapide de la demande dans les régions d’Asie et du Pacifique signifie que le charbon et le gaz devraient actuellement augmenter au cours de la décennie. La production de combustibles fossiles conservera donc plus de 50 % du mix énergétique.

Cependant, les technologies propres continueront de croître, notamment les énergies éoliennes et solaires. Cela aura bien évidement un impact sur le mix énergétique à la fois dans les régions APAC (Asie et Pacifique) mais aussi en Amérique.

Dans le cadre de la transition énergétique, le développement de nouvelles technologies particulièrement disruptives comme l’hydrogène refaçonnent aussi le marché.

Une tendance à la baisse pour l’utilisation d’énergies non vertes.

D ’après Barbara Monterrubio : « Alors que l’hydrogène est considéré comme un moyen de réduire les émissions dans toutes les industries, les usines d’hydrogène vert en sont à leurs balbutiements. La plupart des projets sont encore au stade de la « faisabilité ». Notamment dans plusieurs secteurs tels que les transports, l’industrie, les secteurs du raffinage et de la chimie ».

Il semblerait que le rythme auquel ces domaines ont évolué au cours de la dernière année soit exponentiel. Aussi, le besoin continu d’éléments qui peuvent garantir la réduction des émissions de carbone et équilibrer l’intermittence des énergies renouvelables au sein du système contribuera à maintenir cette tendance.

Gageons alors que celles-ci se confirment !

Source : tecsol.blogs.com

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Félicitations à Hello watt et Dual Sun pour leur intégration à la French Tech-Green 20 !

Ce 03 mai 2021, ces deux start up viennent d’intégrer le sélectif programme de la French Tech-Green 20. Sur 200 candidatures, c’est seulement 20 entreprises françaises sélectionnées dont deux avec lesquelles nous travaillons. Ces passionnés de process technologiques et écologiques s’adonnent au travail pour toujours plus de performance et d’efficacité durables.

Pour les présentations, Hello watt, c’est notre apporteur d’affaires auprès duquel nous sommes référencés parmi les installateurs photovoltaïques agréés et compétents. C’est une start-up reconnue dans le conseil des énergies renouvelables et de la mise en relation avec des installateurs référencés . Son objectif : être la plateforme numérique gratuite  pour la transition énergétique des logements.

Quant à Dual Sun, c’est le fabricant français et marseillais de panneaux photovoltaïques hybrides et thermiques de production combinée d’électricité et d’eau chaude.  Son créneau : une face avant pour le photovoltaïque, et, une face arrière pour l’échangeur thermique. Un fournisseur d’Ecosolar.

C’est bon pour l’environnement et bon pour l’économie !

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PHOTOVOLTAÏQUE ET EXPLOITATIONS AGRICOLES: fiscalité et objet sociale

L’activité de production d’énergie photovoltaïque commerciale est autorisée sur les bâtiments agricoles mais nécessite de bien choisir l’objet sociale.

Car c’est l’objet sociale de l’exploitation qui détermine l’activité que peux réaliser la société et les champs d’action des exploitants.

Si vous développez l’activité photovoltaïque au sein de la société civile agricole existante une modification de son statut devra être apportée.

Aussi, il faut savoir que la règlementation de l’urbanisme dépend de la taille, de la puissance et de la situation géographique de l’installation. Les démarches administratives en dépendront.

Quant à la règlement fiscale (déclaration des revenus et déclaration de TVA), il est possible de globaliser les revenus de la production solaire avec les bénéfices agricoles jusqu’à une limite de 50 % des revenus totaux. Attention, cette tolérance fiscale et ce rattachement au BA ne rend pas possible la déduction pour aléas ni la déduction épargne de précaution.

Cette disposition regarde les sociétés civiles d’exploitation agricole (SCEA), les groupements agricoles d’exploitation en commun (GAEC), les exploitations agricoles à responsabilité limitée (EARL) et les groupements fonciers agricoles (GFA). Elle est également applicable aux sociétés créées de fait ou en participation.

Par ailleurs, une production solaire destinée à faire fonctionner une activité de production agricole n’est pas considérée comme une source de revenue. Elle est donc non déclarable seulement si cette production est consommée pour les besoins de l’activité agricole et concerne les éléments inscrits à l’actif de l’exploitation.

Bâtiments neufs et production solaire : Enerplan démontre le coût dérisoire pour le “prêt au solaire”

Malgré des débuts laborieux essentiellement dû à une mauvaise réputation, l’énergie solaire à aujourd’hui le vent en poupe et produire de l’électricité sur un toit n’est aujourd’hui plus une idée farfelue.

Mieux encore, l’idée semble se généraliser. Enerplan, le syndicat des professionnels de l’énergie solaire a partagé à la rentrée les résultats d’une étude portant sur le coût additionnel du « prêt au solaire » avec le Ministère du Logement et celui de la Transition Écologique.

C’est-à-dire prévoir dès la construction d’un bâtiment neuf, la possibilité que celui-ci reçoive une installation solaire par la suite.

Cette étude menée par le bureau d’ingénierie Cardonnel prend en considération un grand nombre de facteurs techniques comme :

  • Une structure suffisamment dimensionnée pour accueillir les panneaux solaires
  • La mise en place de gaines et fourreaux pour le passage des câbles ou tuyaux
  • L’étanchéité de la toiture
  • La réalisation d’une étude d’ombrage qui pourrait impacter la production
  • La conformité de l’isolation du bâtiment
D’après l’étude réalisée, prévoir à la construction d’un bâtiment neuf la possibilité d’y implanter une installation solaire par la suite ne représente qu’un très léger surcoût :
  • 0.4% pour une maison individuelle
  • 0.3% pour un petit bâtiment collectif

En rapport avec ces résultats et pour conclure sur le sujet, nous pouvons retenir les mots de Laetitia Brottier, Vice-Présidente Solaire et Bâtiment d’Enerplan :

« La future réglementation environnementale a fait l’impasse sur le bâtiment à énergie positive, nous en prenons acte. Mais la France ne peut se permettre d’accumuler les retards, et peut dès à présent appliquer un principe simple : à défaut d’être solarisé à sa construction, un nouveau bâtiment doit pouvoir l’être à moindre coût. En 2020, c’est une question de bon sens : tout bâtiment doit pouvoir produire chaleur ou électricité grâce au soleil. Le permettre ne coûte que très peu. Qu’attendons-nous pour l’inscrire dans la réglementation ? ».

Sources :

Article Enerplan

Etude Cardonnel

Un prix fixé à 98 € le MWh pour les 100-500 kWc.

Ce vendredi 2 avril était une date importante pour le marché du solaire. Les révélations du tarif de rachat pour les puissances de 100 à 500 kWc sont faites. Le prix est fixé à 98 € le MWh.