[je-roule-au-solaire] Les véhicules électriques sont-ils vraiment écologiques ?
Les véhicules électriques sont-ils vraiment écologiques ?
Les véhicules électriques sont-ils vraiment écologiques ?
Un nouveau bolide électrique chez Ford
C’est le mercredi 15 mai 2019 que RTE (Réseau de Transport de l’Electricité) a publié en lien avec l’AVERE-France les résultats de l’étude ”Les enjeux du développement de l’électromobilité pour le système électrique”.
Cette étude évalue les comportements, la contribution au mix énergétique ainsi que l’impact économique et écologique de la mobilité électrique.
Et il semblerait que le développement du véhicule électrique présente des atouts écologiques et économiques majeurs, quelques soient les hypothèses envisagées. En effet, cinq scénarios de développement du véhicule électrique en France ont été imaginés : Crescendo, Opéra, Forte, Alto et Piano.
Du point de vue de la sécurité d’approvisionnement, RTE estime que la consommation d’énergie liée au développement du véhicule électrique ne devrait pas excéder 48 TWh, soit 10% de la consommation française.
Ce niveau de consommation n’impacte pas la sécurité d’approvisionnement en électricité de la France. Les périodes de forts déplacements, comme les vacances scolaires ou les départs en weekend, ne constituent pas un motif d’inquiétudes. Les pointes de consommation en électricité du soir peuvent, quant à elles, être atténuées grâce à la mise en place de solutions simples de pilotage.
Le coût du plein d’un véhicule électrique devrait être 3 fois inférieur à celui d’un véhicule thermique. En cas d’utilisation de solutions de pilotage, ce plein pourrait être 5 fois inférieur.
Le pilotage de la recharge permettrait de diviser par 2 le coût du développement de la mobilité électrique pour le système électrique.
Les émissions de CO2 d’un véhicule électrique français seraient, au minimum, divisées par 4 par rapport à celles d’un véhicule thermique, cycle de vie complet de la batterie compris.
Le lieu de fabrication des batteries, la croissance modérée de leur capacité de stockage, l’accroissement de leur taux de recyclage, le pilotage de la recharge ainsi qu’un usage plus important des transports en commun et des mobilités douces contribueraient également à réduire significativement l’impact environnemental du secteur des transports. Combinés, ces leviers peuvent permettre d’éviter l’émission de 2 fois plus de CO2.
Le développement du véhicule électrique et le pilotage de sa recharge permettrait une meilleure intégration des énergies renouvelables sur le réseau, à court terme, et un moindre recours aux moyens de production fossiles de pointe, à long terme.
L’étude complète a été présentée le mardi 21 mai et nous attendons de connaitre les résultats.
En attendant, tous les voyants sont au vert pour voir le véhicule électrique se démocratiser.
Source : https://tecsol.blogs.com
Voilà presque 40 ans que la première centrale solaire photovoltaïque reliée au réseau à été installée en Europe, et plus précisément en Suisse, à coté de Lugano.
D’une puissance originale de 10kW pour 288 panneaux, cette centrale avait amorcé le début d’une nouvelle façon de produire de l’énergie électrique.
Eh bien c’est sans grande surprise que l’on constate que 3 modules sur 5 installés présentent encore un rendement égal ou supérieur à 80% de leur production initiale. Certains sont même dans un état encore neuf avec une production supérieur à 90%. Seul certains câbles et onduleurs ont dû être remplacés.
Des chiffres remarquables pour une installation réalisée en 1982 !
Aujourd’hui les technologies ont bien évolué et les principaux défauts des premiers panneaux ont disparus. Il ne fait nul doute que dans 40 ans, nous soyons à nouveau surpris par les résultats des technologies actuelles !
Mais dans tous les cas, un produit de qualité n’empêche pas son bon entretien de l’installation. N’oubliez pas que la meilleure garantie de production reste un suivi, entretien et un nettoyage régulier.
Image: L’installation TISO sur une photo datant de 1982 (SUPSI)
? Légère baisse des tarifs pour la vente totale (3 et 9kWc).
✅Toujours 2610€ de prime de l’état pour un système en autoconsommation de 9 kWc.
?Légère baisse pour le secteur tertiaire en vente totale (100kWc) et pour la prime à l’autoconsommation (36kWc).
Pour vous aider, vous pouvez faire appel à un professionnel du secteur qualifié ou à un conseillé énergie. Ils pourront vous recommander le système EnR qui vous correspondra le plus en fonction de votre habitation ou de vos besoins.
« Reconnu Garant de l’Environnement » est un dispositif national qui vise à identifier facilement les entreprises qualifiées dans le domaine de la rénovation énergétique et des énergies renouvelables. Faire appel à une entreprise qualifiée RGE pour la réalisation des travaux est indispensable pour vous assurer une installation de qualité. De plus, c’est une obligation pour pouvoir prétendre aux différentes aides publiques comme les primes énergies. Attention, en fonction du type de travaux que vous souhaitez réaliser, le type de qualification sera différent. Par exemple pour le photovoltaïque, il vous faudra trouver un professionnel qualifié Quali’Pv.
Il existe encore aujourd’hui de nombreux éco-délinquants aux pratiques peu scrupuleuses qui n’hésitent pas à vendre du rêve et proposent des projets aux tarifs prohibitifs qui rendent toute rentabilité impossible. Ne JAMAIS signer un devis dans la précipitation ou sous la pression. Attention aux bons de commandes déguisés !
Votre logement est unique, c’est la raison pour laquelle un professionnel devra réaliser une visite technique afin de vérifier la faisabilité du projet sur place. Alors, il sera en mesure de vous proposer un devis.
N’hésitez pas à solliciter plusieurs professionnels afin de comparer leurs offres. Vous pourrez alors comparez les prix en fonction bien sûr, du matériel proposé et des travaux compris dans la prestation. Cela vous évitera de mauvaises surprises.
Avec ces conseils, il ne vous reste plus qu’à trouver le bon artisan.
Sources :
https://www.qualit-enr.org/actualites/conseils-pour-passer-aux-energies-renouvelables
Les tarifs d’achat photovoltaïque et prime d’autoconsommation valable jusqu’au 31 septembre 2019 sont publiés!
? Légère baisse des tarifs pour la vente totale et de la prime d’autoconsommation (3 et 9kWc).
✅Jusqu’à 2610€ de prime de l’état pour un système en autoconsommation de 9 kWc.
?Légère baisse pour le secteur tertiaire en vente totale (36 à 100kWc).
C’est le moment d’investir et de produire sa propre énergie ?!
Les différents types de charge et leur durée :
En courant alternatif, il existe trois paliers de puissance.
Pour recharger votre véhicule électrique, vous aurez besoin d’une borne de recharge. Vous en trouverez sur la voie publique, sur des parkings privés (parking d’entreprise par exemple) mais vous pouvez aussi en avoir une chez vous, à votre domicile.
Il existe 3 types de recharges avec une puissance différente et donc un temps de charge plus ou moins long ; les voici :
Appelée le plus souvent « charge lente », cette borne permet de recharger une voiture électrique en 6 à 8 heures. La puissance d’une borne va jusqu’à 3,7 kW monophasé et correspond à un courant de 16 A (tension 230 VAC). Du fait de sa lenteur de chargement, cette solution est plus appropriée pour un usage à domicile ou sur le lieu de travail, qui couvrent 90 % des situations de recharge.
La recharge accélérée délivre jusqu’à 22 kW de puissance en triphasé (32 A). Le véhicule est rechargé à 80% en près de deux heures. Ces installations sont généralement destinées aux professionnels faisant beaucoup de conduite ou aux personnes parcourant de longues distances.
Le temps de chargement passe à 30 minutes avec la charge rapide. Cette puissance est réservée à des usages spécifiques ou de secours Ce type de recharge nécessite une puissance supérieure à 22 kW en courant alternatif triphasé (63 A).
Les quatres modes de charge:
A l’heure actuelle, il existe quatre modes de recharge pour voiture électrique :
Source :
https://www.infoelectricien.com/installation-borne-recharge-guide-irve-electricien/
Une hausse bien supérieure aux années précédente qui va faire grimper les factures. Comptez 85€ en moyenne pour un foyer avec chauffage électrique.
Cette augmentation, proposée par la CRE (Commission de Régulation de l’Energie) doit être validée par le gouvernement dans un délai de 3 mois. Et d’après Jean-François Carenco, président de la CRE, elle “doit permettre de garantir la sécurité, la qualité et des prix raisonnables à moyen et long terme”.
Il faut savoir que cette hausse tient compte notamment de la l’augmentation importante des prix sur les marchés de gros de l’énergie (qui est lié à l’accroissement des prix des matières premières), ainsi que du doublement du prix des garanties de capacité (certificat à acheter par le fournisseur d’électricité).
Mais comment est calculée l’évolution des tarifs réglementés de vente de l’électricité (TRV)? Grace à la loi “norme” votée en 2010 qui additionne les coûts des différentes composantes de la filière.
On y retrouve:
Le coût d’approvisionnement des fournisseurs alternatifs.
Le coût d’approvisionnement en capacité (garantit la sécurité de l’approvisionnement)
Les coûts commerciaux
Les coûts d’acheminement de l’électricité
Ainsi que la marge commerciale.
Il faut aussi y ajouter les taxes:
La contribution tarifaire d’acheminement (CTA).
La contribution au service publique d’électricité (CSPE).
La taxe sur la consommation finale d’électricité (TCFE)
Ainsi que la TVA.
Face à cette hausse, le gouvernement à décidé de revoir la méthode de calcul des tarifs réglementés à l’occasion de l’examen du projet de loi énergie prévu dans la seconde quinzaine de juin de cette année.
Et pourtant, il existe une autre solution pour contrer ces évolutions du tarif de l’électricité:
Par exemple, il ne suffit que de 500w de production solaire (deux panneaux de 250W) pour absorber cette augmentation.
Comme quoi, l’énergie verte participe à la réduction de la pollution énergétique, et vous aussi aussi à faire baisser vos factures ! Pensez-y !
Si l’énergie solaire fait partie de notre avenir, il en va de même pour certaines nouvelles technologies vertes comme par exemple la voiture électrique, pour laquelle nous observons régulièrement l’arrivée de nouveaux modèles.
Mais quelle est l’évolution de ce marché ? Allons nous voir de plus en plus de ces véhicules circuler sur nos routes ? C’est ce que nous espérons ici et d’après le site “INFOELECTRICIEN“, il semblerait que la réponse soit oui !
Notamment en France, devenue premier marché des véhicules particuliers électriques en Europe grâce à une évolution de +24% sur l’année 2017 (particuliers et utilitaires). Le cap des 100 000 immatriculations a été franchi !
Et pour l’horizon 2020, l’AVERE (Association nationale pour le développement de la mobilité électrique) estime le parc de véhicules électriques en France à 350 000 soit plus du triple du chiffre affiché pour l’année 2017. Une évolution rapide permise notamment grâce à l’arrivée de nouveaux modèles sur le marché (Tesla, Dacia électrique, ou encore Renault Zoé, modèle le plus vendu en Europe).
De plus, il est toujours possible de bénéficier d’aides de l’Etat pour l’achat de véhicules électrique ce qui permet de favoriser les ventes et la transition vers un moyen de circulation plus propre.
Vous trouverez la liste des bonus écologiques disponibles ici.
Un groupe d’études composé des plus grands acteurs du moment* a d’ailleurs réalisé une estimation selon laquelle, dans un scénario optimiste, 15% du parc auto en France (5.5 millions) serai électrique d’ici 2030, pour atteindre les 100% à l’horizon 2050.
Parmi les marchés porteurs qui attendent les installateurs électriciens dans les années à venir, celui de l’installation des infrastructures de recharge pour véhicules électriques (IRVE) est l’un des plus prometteurs.
En effet, il est aujourd’hui encouragé par les politiques publiques et par l’évolution rapide des ventes de véhicules électriques à destination des particuliers, des collectivités ou des entreprises.
Et comme le développement des bornes de recharge va de pair avec l’évolution des ventes de véhicules électriques, il n’est pas étonnant de voir une croissance du nombre de point de charge de 35.5% entre 2016 et 2017. Soit plus de 20 000 postes publics et plus de 100 000 postes à domicile ou sur le lieu de travail au 1er janvier 2017 en France.
Sur l’ensemble du territoire, l’objectif gouvernemental table sur 4,4 millions de points de charge à horizon 2020, dont 90 % à installer dans les copropriétés, résidences principales et parkings de bureaux.
Toutes les régions ne sont malheureusement pas logées à la même enseigne. La plus grande concentration se trouve sans grande surprise en Ile de France avec plus du quart à elle toute seule (30689). Les deux suivantes sont l’Auvergne-Rhône-Alpes (12912) et la Nouvelle Aquitaine (11222) pour l’année 2017.
A elles seules, ces trois régions totalisent presque la moitié des stations de recharge disponibles en France, mais nul doute que ces chiffres seront sujet à une rapide évolution.
Source: https://www.infoelectricien.com